Dans notre cher pays, il y a 3% de paysans, on va dire que la moitié sont des femmes. Soi une journée mondiale pour 1% de la population (j'ai toujours été mauvais, divisionnement parlant) c'est peut. Une journée mondiale du faux bad boy représenterait plus de personnes (surtout à Paris à chaque coin de rue, c'est fatiguant, t'as le mec avec des tonnes de sappes sur lui, école de commerce, papa maman pour remplir son frigo qui se la raconte. La tête à claque par exellence.)
Donc la femme rurale, c'est surtout dans les autres pays, soi disant pauvres (mais je suis sur qu'ils cachent très bien leur jeu... dans les coffres de leur dirigeant) qu'il faut les trouver (ou qu'on les cherche, je suis à fond dans le néo syntaxisme en ce moment). Elles souffrent, du patriarcat, de leur labeur, de leur ex (si zion). Et elles ne rêvent que d'une chose : monter à la ville. Là où les choses seraient tellement plus roses pour elles. Leur emancipation passe par l'exode rurale (et quelques passes au passage parce que quand t'arrive sans relation dans une megalopole, les seules que tu peux avoir sont sexuelles et bassement tarifiées.) Donc on les plaint et on salut leur courage de femmes rurales. Nous, les hommes citadins.
Sauf que. Sauf que nos rombières à nous, citadines comme pas deux, passionnées de shopping, de boites, d'open bar et d'expos hyper branchées, de quoi elles rêvent ces eternelles insatisfaites (même quand tu leur sort le grand jeu de l'amour pates-dvd-crampe-romflement) : de grand air, de campagne, de se mettre au vert (alors que les mettre, au vert ou ailleurs, c'est du kif kif). Elles veulent revoir leur Normandie, faire l'amour en mer, jouer la belle des champs (en buvant du champ, evidemment). Ces nostalgiques de mes deux. Faut leur rappeler que leur grands mères se sont battues pour l'inverse, que la vie à la campagne, c'est pas rose, c'est morose et qu'elles votaient même pas à l'époque.
Alors la prochaine fois que ta greluche veut faire sa crasseuse comme mamie pendant un week end à la campagne rappelle lui qu'elle ne fait que soutenir les exactions machistes du tiers monde. Moi, ça me fait penser au bad boy qui est bourré d'argent de poche. Et le brushing est bouclé.
Donc la femme rurale, c'est surtout dans les autres pays, soi disant pauvres (mais je suis sur qu'ils cachent très bien leur jeu... dans les coffres de leur dirigeant) qu'il faut les trouver (ou qu'on les cherche, je suis à fond dans le néo syntaxisme en ce moment). Elles souffrent, du patriarcat, de leur labeur, de leur ex (si zion). Et elles ne rêvent que d'une chose : monter à la ville. Là où les choses seraient tellement plus roses pour elles. Leur emancipation passe par l'exode rurale (et quelques passes au passage parce que quand t'arrive sans relation dans une megalopole, les seules que tu peux avoir sont sexuelles et bassement tarifiées.) Donc on les plaint et on salut leur courage de femmes rurales. Nous, les hommes citadins.
Sauf que. Sauf que nos rombières à nous, citadines comme pas deux, passionnées de shopping, de boites, d'open bar et d'expos hyper branchées, de quoi elles rêvent ces eternelles insatisfaites (même quand tu leur sort le grand jeu de l'amour pates-dvd-crampe-romflement) : de grand air, de campagne, de se mettre au vert (alors que les mettre, au vert ou ailleurs, c'est du kif kif). Elles veulent revoir leur Normandie, faire l'amour en mer, jouer la belle des champs (en buvant du champ, evidemment). Ces nostalgiques de mes deux. Faut leur rappeler que leur grands mères se sont battues pour l'inverse, que la vie à la campagne, c'est pas rose, c'est morose et qu'elles votaient même pas à l'époque.
Alors la prochaine fois que ta greluche veut faire sa crasseuse comme mamie pendant un week end à la campagne rappelle lui qu'elle ne fait que soutenir les exactions machistes du tiers monde. Moi, ça me fait penser au bad boy qui est bourré d'argent de poche. Et le brushing est bouclé.
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