Les droits de l'Homme et leur déclaration, c'est un peu comme l'amour et la poésie romantique : un bon début. Elles ne vont pas faire leur vie avec le plus beau parleur de tous leur courtisans. Mais certainement pas avec le pire qui hurle des insanités et ne leur promet rien d'autres que des ronflements éthyliques (est il hic ?) au lit, sans passer par la case départ pour le 7éme ciel ni toucher les 10 000 francs espérés (les francs étaient de bien meilleurs amants que n'importe quelle autre tribu barbare).
Donc les droits de l'Homme (avec un trois feuilles, autrement dit, un H majuscule) c'est un peu de la poésie politique (à un autre niveau que la positive attitude de Raffarin, je te l'accorde... au coup). Et ce n'est pas vain à mon humble (mais nécessaire) avis (et c'est sans peur ni complexe que je pretend être le seul auteur de ce blog à en avoir, non pas un, mais deux !). La poèsie, c'est peut être du bla bla qui des fois même, et c'est un comble, ne rime à rien. Je suis complétement d'accord que parler, négocier, tout ça, c'est long. Comme dans toutes les discussions t'as ceux qui parlent moins (et n'en pensent pas plus), t'as les emprunts de lyrisme, ceux qu'on pige que dalle à ce qui bavent... Mais c'est toujours par là que ça commence. Il n'y a qu'en boite de nuit qu'on rencontre des gens sans leur parler.
La poésie politique est nécessaire comme dans la séduction. Tu peux, à partir de ce que t'as déclamé, produire de l'espoir (ou son contraire). En tout cas, ça te fais, comme base de départ, une sorte de symbole, un œuvre d'art (le plus court chemin entre deux êtres et ça tombe bien puisque la politique, c'est vivre ensemble). Tu vas me dire, la plupart des beaux parleurs déçoivent. Je savais que tallais me dire ça et t'as complètement raison. Preuve historique à l'appui.
Quand la France fête les 60 ans de sa déclaration des droits de l'Homme, nous sommes en 1849, l'Assemblée vient d'abolir l'esclavage et les citoyens d'élire, au Suffrage Universel (avec testostérone), leur premier Président de la République : le valeureux Napoléon III. Lequel s'est empressé de faire un coup d'État. Petite leçon d'histoire pour les grognons, justement donneurs de leçons.
Donc évidemment, la déclaration dont on fête les 60 ans aujourd'hui (et pas le 8, désolé Sarko) n'a aucune portée légale. Bien entendu, elle n'a jusqu'à présent empêché aucun tortionnaire de tortionner dans son pays. Et pourtant, il y a une justice dans ce monde.
Car le 10 décembre, c'est le jour de la mort de Pinochet (j'en connais beaucoup qui confondent ça avec un hochet -avec option éclaboussures). C'est forcement un signe. En fait, la déclaration, c'est comme le loto, seuls ceux qui l'ont signée pourront gagner un jour (et donc, le loto, c'est comme la séduction).
Donc les droits de l'Homme (avec un trois feuilles, autrement dit, un H majuscule) c'est un peu de la poésie politique (à un autre niveau que la positive attitude de Raffarin, je te l'accorde... au coup). Et ce n'est pas vain à mon humble (mais nécessaire) avis (et c'est sans peur ni complexe que je pretend être le seul auteur de ce blog à en avoir, non pas un, mais deux !). La poèsie, c'est peut être du bla bla qui des fois même, et c'est un comble, ne rime à rien. Je suis complétement d'accord que parler, négocier, tout ça, c'est long. Comme dans toutes les discussions t'as ceux qui parlent moins (et n'en pensent pas plus), t'as les emprunts de lyrisme, ceux qu'on pige que dalle à ce qui bavent... Mais c'est toujours par là que ça commence. Il n'y a qu'en boite de nuit qu'on rencontre des gens sans leur parler.
La poésie politique est nécessaire comme dans la séduction. Tu peux, à partir de ce que t'as déclamé, produire de l'espoir (ou son contraire). En tout cas, ça te fais, comme base de départ, une sorte de symbole, un œuvre d'art (le plus court chemin entre deux êtres et ça tombe bien puisque la politique, c'est vivre ensemble). Tu vas me dire, la plupart des beaux parleurs déçoivent. Je savais que tallais me dire ça et t'as complètement raison. Preuve historique à l'appui.
Quand la France fête les 60 ans de sa déclaration des droits de l'Homme, nous sommes en 1849, l'Assemblée vient d'abolir l'esclavage et les citoyens d'élire, au Suffrage Universel (avec testostérone), leur premier Président de la République : le valeureux Napoléon III. Lequel s'est empressé de faire un coup d'État. Petite leçon d'histoire pour les grognons, justement donneurs de leçons.
Donc évidemment, la déclaration dont on fête les 60 ans aujourd'hui (et pas le 8, désolé Sarko) n'a aucune portée légale. Bien entendu, elle n'a jusqu'à présent empêché aucun tortionnaire de tortionner dans son pays. Et pourtant, il y a une justice dans ce monde.
Car le 10 décembre, c'est le jour de la mort de Pinochet (j'en connais beaucoup qui confondent ça avec un hochet -avec option éclaboussures). C'est forcement un signe. En fait, la déclaration, c'est comme le loto, seuls ceux qui l'ont signée pourront gagner un jour (et donc, le loto, c'est comme la séduction).
1 commentaire:
PIN-HOCHET ?!
Rien ne t'arrête, hein?
Coquin!
Filou!
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