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Quand j'avais une mauvaise note à l'école (c'est à dire moins de 7/20, au dessus, ça passait) je me disais "il y a pire, Kader, Florian, Vasken, ils ont eu zéro donc je peux me satisfaire de mon 5 finalement." Vaine excuse puisque j'avais un bureau pour moi tout seul, deux profs particuliers, trois années de retard et quatre antisèches dans la trousse.
La violence à l’égard des femmes n'est pas plus acceptable dans les pays pauvres, je laisse se genre de leçon de droit positiviste et relativiste aux pisses froid, bandeurs mou et autres avocats du diable sans autre valeur que leur esprit de contradiction. Mais quand même, en France, en Europe, c'est encore moins acceptable. Avec notre barda de lois, polices nationales, municipales, de quartiers, douanières, BRB, CORB, RG et tout le poulailler c'est fou que ça existe encore (le coq battrait il sa poule ?)
On sait deux choses, celles qui se font mettre à l'amende retournent la plupart du temps au bercail et ne portent pas plainte. Et personne ne peut porter plainte à leur place. Alors une journée mondiale, c'est bien beau mais ça ne les aide surement pas à surmonter leur peur.
1 commentaire:
je dirais que la dénomination même de cette journée est problématique.
pourquoi "élimination" ? pourquoi pas, comme la plupart du temps: journée contre la violence à l'égard des femmes ?
et donc, où est la solution à ce problème ? dans la répression ou dans l'éducation ? vaste question qui se termine toujours par: les deux mon sergent.
le mot "élimination" implique qu'une seule partie, la répression, en oubliant la seconde.
il serait intéressant de savoir pourquoi ils ont choisi cette terminologie.
n'y a t il pas un peu de légitimation de cette violence ?
"c'est pas bien, même si c'est culturel, coutumier etc....
une gêne de nos morales envers celles qui banalisent (justifient ) de telles choses.
en oubliant que ces pratiques étaient tout aussi naturelles il n'y a pas si longtemps dans nos contrées.
et là, je suis content, je suis le premier à commenter.
top, pour la peine, ce soir, je vais manger des pattes. ou ce qu'il y a au milieu...
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